Le printemps éclate de toute part.

Les arbres et arbustes font « les beaux » avec leurs feuilles d'un vert tendre et leurs fleurs qui embaument. Dans nos jardins, plantes annuelles ou vivaces rivalisent de couleurs et senteurs…

Les oiseaux, eux aussi, chantent le printemps, ce renouveau. Les hirondelles sont revenues et s’activent à reconstruire leur nid en faisant un raffut de tous les diables…

C’est le moment où il fait bon se promener dans la campagne, s’enivrer de toutes ces parfums, écouter, rêver …

Et pour vous accompagner dans votre flânerie, nous vous proposons ces quelques poèmes…

Rondeau de printemps

Le temps a laissé son manteau
De vent, de froidure et de pluie,
Et s'est vêtu de broderie,
De soleil luisant, clair et beau.

Il n'y a bête ni oiseau
Qu'en son jargon ne chante ou crie :
Le temps a laissé son manteau
De vent, de froidure et de pluie.

Rivière, fontaine et ruisseau
Portent en livrée jolie
Gouttes d'argent, d'orfèvrerie;
Chacun s'habille de nouveau:
Le temps a laissé son manteau.

René Charles d'Orléans

Printemps

Tout est lumière, tout est joie.

L'araignée au pied diligent

Attache aux tulipes de soie

Les rondes dentelles d'argent.

La frissonnante libellule

Mire les globes de ses yeux

Dans l'étang splendide où pullule

Tout un monde mystérieux.

La rose semble, rajeunie,

S'accoupler au bouton vermeil

L'oiseau chante plein d'harmonie

Dans les rameaux pleins de soleil.

Sous les bois, où tout bruit s'émousse,

Le faon craintif joue en rêvant :

Dans les verts écrins de la mousse,

Luit le scarabée, or vivant.

La lune au jour est tiède et pâle

Comme un joyeux convalescent;

Tendre, elle ouvre ses yeux d'opale

D'où la douceur du ciel descend !

Tout vit et se pose avec grâce,

Le rayon sur le seuil ouvert,

L'ombre qui fuit sur l'eau qui passe,

Le ciel bleu sur le coteau vert !

La plaine brille, heureuse et pure;

Le bois jase ; l'herbe fleurit.

- Homme ! Ne crains rien ! La nature

Sait le grand secret, et sourit.

Victor Hugo

Le printemps

Te voilà, rire du Printemps !
Les thyrses des lilas fleurissent.
Les amantes qui te chérissent
Délivrent leurs cheveux flottants.

Sous les rayons d’or éclatants
Les anciens lierres se flétrissent.
Te voilà, rire du Printemps !
Les thyrses de lilas fleurissent.

Couchons-nous au bord des étangs,
Que nos maux amers se guérissent !
Mille espoirs fabuleux nourrissent
Nos cœurs gonflés et palpitants.
Te voilà, rire du Printemps !

Théodore de Banville

Mars

Il tombe encore des grêlons,

Mais on sait bien que c’est pour rire.

Quand les nuages se déchirent,

Le ciel écume de rayons.

Le vent caresse les bourgeons

Si longuement qu’il les fait luire.

Il tombe encore des grêlons,

Mais on sait bien que c’est pour rire

Les fauvettes et les pinsons

Ont tant de chose à se dire

Que dans les jardins en délire

On oublie les premiers bourdons.

Il tombe encore des grêlons.

Maurice Carême

Photos de Michèle Perriot et Monique Collin

Exposition "Musée sentimental"

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Jean-Pierre Finance, Président de l'Université Henri-Poincaré,
Fabien Schneider, Directeur de l'IUFM de Lorraine,
Philippe Margeotte, Directeur du site de Metz,

vous invite au vernissage de l'exposition


le jeudi 12 mai 2011 > 18h30
exposition du 13 mai au 1er juin


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Des œuvres, des objets personnels,intimes, chargés d'émotion et d'histoire,
un émouvant dialogue prend forme

Frédérique Bertrand / Sandrine Buessler / Antoine Carolus / Claudine Collilieux / Daniel Denise /
Jeff Desnisse Philippot / Maria Cristina Escobar Lopez / Elise Franck / Caroline Froissart /
Sébastien Lacroix / Amandine Le Marec / Rémi Malingrey / Jean-Christophe Massinon / Renaud Perrin /
Isabelle Pierron / Nicolas Pinier / Emmanuelle Potier / Alain Simon /

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IUFM DE LORRAINE / UNIVERSITE HENRI POINCARE : 16 Bd Paixhans, 57000 METZ

Spectacle de danses le dimanche 22 mai

Notre amicaliste Huguette Muller vous propose de venir assister au spectacle de danses qu'elle présente avec son groupe de folklore:

le dimanche 22 mai 2011 à 14h00 au Centre Jacques Brel de Talange.

Vous pourrez notamment admirer une belle suite arménienne.

Venez nombreux les applaudir...

Le voyage vers les grandes villes de l’Est américain approche, voilà un petit article pour nous « mettre en condition ou en appétit » …

Connaissez-vous le point commun qui existe entre les trois villes suivantes : la Mégapole New-York, la Capitale de la Franche Comté qui est, bien évidemment, Belfort et cette ville d’Alsace si pleine de charme?

Pour vous aidez, nous vous donnons un indice supplémentaire : quel lien relie la Statue de la Liberté de New-York, le Lion de Belfort et le monument fontaine de l’Amiral Bruat à Colmar

Bien sur, vous connaissez tous la réponse. Ce point commun s’appelle « Fréderic Bartholdi ».

Frédéric Bartholdi naquit en en août 1834, à Colmar. A la mort de son père, toute la famille quitta l’Alsace pour emménager à Paris. Après le Lycée, Frédéric décida d’étudier l’architecture et, en 1852, entra à l’Ecole nationale supérieure des Beaux Arts.

Très vite il se fit remarquer et la ville de Colmar lui commanda la statue du général Jean Rapp, héros napoléonien. Statue qu’il exposa lors de l’Exposition Universelle de Paris en 1855 et qui remporta un vif succès.

Il partit faire un voyage en Egypte et là fut impressionné par l’art de la civilisation égyptienne et notamment son aspect monumental. Cette influence se retrouvera dans le Lion de Belfort .Quelques années après l’inauguration de la statue du Général Rapp, la ville de Colmar donna à Frédéric Bartholdi une nouvelle commande, faire la statue d’Armand Bruat, amiral français né à Colmar, mort en mer. Il avait fondé le protectorat français de Tahiti et gouverna les colonies françaises en Océanie et aux Antilles.

Bartholdi imagina une fontaine avec la statue de l’amiral Bruat entourée de personnages représentant les quatre parties du monde. Celle-ci fut inaugurée en 1864. C’était la première fontaine à jet continu de Colmar.

Elle fut détruite en 1940 par les allemands à l’exception de la statue. Quelques années plus tard, la ville de Colmar demanda au sculpteur Gérard Choain et à l'architecte Michel Porte, de concevoir une nouvelle fontaine en hommage à Bartholdi et au milieu de laquelle prône la statue de l’amiral. Ce nouveau monument fut créé en 1958.

Mais revenons à Bartholdi, en 1866, Laboulaye, lui commanda un monument qui représenterait l’amitié entre la France et les Etats Unis. Ce projet fut interrompu par la guerre de 1870 en la France et la Prusse. Après la défaite de la France marquée par le traité de Francfort. Bartholdi partit pour les Etats Unis afin de voir les différentes possibilités pour concrétiser le projet de ce monument à offrir à ce pays ami.

Lorsqu’il revint en France, il découvrit un pays ravagé par la guerre. Il mit alors de côté son projet pour les Etats Unis et réalisa le « Lion de Belfort » qui symbolisait la résistance de cette ville, sous le commandement du colonel Denfert-Rochereau lors de son siège par les prussiens durant la guerre de 1870. C’est grâce à cette résistance que le territoire de Belfort fut la seule partie de l'Alsace à rester française.

Long de 22 m et haut de 11m, il est constitué de blocs de grès rose. Mais suite aux protestations allemandes, le lion qui, à l’origine faisait face à l’ennemi, fut tourné vers l’ouest.

Et ce n’est que vers 1873 que notre sculpteur reprit le projet de la statue de la liberté. Il demanda à Viollet le Duc, de choisir les cuivres qui recouvriraient ce monument.

La réalisation de cette œuvre monumentale connut bien des péripéties. Le manque de fonds, le désintérêt de la population aisée de New York, la mort de Laboulaye et de Viollet Le Duc faillirent compromettre sérieusement ce projet.

Finalement grâce au soutient de Joseph Pulitzer, fondateur du journal le New York World et de sa campagne en faveur de ce monument, la statue de la Liberté fut assemblée à New York en 1886.

Gustave Eiffel conçut le socle qui devait soutenir la statue, quatre pieux en acier reliés entre eux pour former une tour

Devant des milliers de spectateurs, elle fut inaugurée le 28 octobre 1886, en présence du président Grover Cleveland.

Sa réalisation coûta plus de 2 250 000 francs.

Elle mesure 46 mètre de haut pour un poids de 204 120 kg, son socle est d’une hauteur de 47 mètre, soit 93 mètres au total.

Alors lorsque vous serez devant cette statue qui symbolise « la liberté éclairant le monde », vous aurez une pensée émue pour ce génie de Bartholdi et faites l’expérience de demander aux passants New Yorkais, l’origine de cette statue. Vous verrez alors que peu d’entre eux savent qu’elle fut offerte par la France en gage d’amitié.

Enfin regardez avec attention son flambeau, vous verrez peut-être que de petits faisceaux partant au loin relier Colmar, et Belfort à New York !!!

LA PETITE HISTOIRE DE RICHEMONT racontée par notre amie Michèle Perriot

Des tessons de l’âge néolithique trouvés à Richemont sont exposés au Musée de la Tour aux Puces à Thionville .

Seize objets de l’époque de bronze et un cavalier en pierre et son cheval de l’époque gallo-romaine ont été donnés au Musée de Metz.

Au XIIème siècle, le Pont de Richemont, sur l’Orne était "Marche d'Estault" (frontière d'Etat) entre la cité de Metz et le comté de Luxembourg. Il figure donc sur le blason.

Mais sa célébrité vient surtout de la coutume qui voulait que l’Echevin (Maire) de RICHEMONT contrôlât son franchissement dans les 2 sens : tout Chef d’Etat qui désirait le passer devait s’arrêter en son milieu et attendre que l’Echevin lui présentât la clé de la Ville de METZ ou de la Ville de LUXEMBOURG.

Ce geste fut renouvelé en 1961, lors de la venue du Président de GAULLE, en Moselle. La cérémonie coïncidait à peu près avec le troisième centenaire du rattachement de THIONVILLE à la France (1660).

Les pélerins qui partaient d’Allemagne passaient par Richemont pour rejoindre Metz, avant de poursuivre la route vers St Jacques de Compostelle. Une statue polychromée de St Jacques (XVIe s.). est fixée au pignon d’une maison de la rue éponyme, mais elle était sans doute fixée à l’origine sur une ancienne chapelle où les pélerins auraient pu faire halte.

Trois tanneries et une verrerie se situaient sur le ban de Richemont. Cette dernière obtint une médaille d’argent à l’exposition universelle de Metz (1823).

Le Château de Pépinville vit naître Gosselin Lenotre, historien de la Révolution et de l’Empire , élu membre à l'Académie Française le 1er Décembre 1932. L’école du village porte son nom depuis 1978.

Dans la forêt de Saint-Hubert était implanté un dépôt de munitions qui servit à ravitailler la ligne Maginot.

L’église de Richemont possède un rétable de style flamboyant gothique datant de 1513 et classé, ainsi que trois chapes brodées, parmi les monuments historiques .

Notre marche nous fera passer par la Côte des Vignes, le Loch, les Roder, le Berg, le Weiher, Saint-Hubert.

Nous apercevrons le Fronholz, la Potence …, tous ces lieux-dits étant répertoriés au cadastre allemand de 1907 et encore utilisés aujourdhui.

Rions un peu…

Un sobriquet est rarement flatteur…

Le village affichant une malpropreté réelle des rues dûe aux chiens indisciplinés, ses habitants furent surnommés " troncs ou crottes de chien " . Comme les gens de Richemont étaient aussi bagarreurs, ils étaient également appelés les "démons".

Quant à l’adage édicté par les garçons nous parlant des filles " Elles préfèrent perdre leur vertu que leurs écus "…

Mais rassurez-vous, les temps ont bien changé

et vous pouvez venir en toute quiétude !!!

Sources : - Richemont "des origines à nos jours" (Francis Girard)

- Vie et culture 1994

- http://www.richemont.fr/ville_historique.asp

SOIREE FESTIVE organisée par l'association Mono Sakou

Cette année encore, nous vous invitons à notre soirée qui se déroulera

le Samedi 26 mars 2011 à la salle des fêtes de Laquenexy dès 20h00

Tous les bénéfices de cette soirée iront au fonctionnement du dispensaire inauguré voici 18 mois et qui connait une fréquentation de plus en plus importante.

Tous les détails de cette soirée que nous voulons festive sont dans le document joint.

Nouvelle salle, nouveau menu et nouveau groupe de musique.

Pensez à réserver votre soirée et à nous retourner le bulletin d'inscription.

Nous serons très heureux de vous retrouver.

Cordialement

Jean-Marie Bailly

Pour imprimer le bulletin d'inscription, cliquez sur ce lien.

Par ces temps enneigés,

nous vous rejoignons dans vos chaumières

afin de vous présenter tous nos voeux pour l'An neuf.

Que vos souhaits les plus chers soient comblés

et que les temps de rencontres et de partages soient nombreux.

Christiane Amadori et l'ensemble du Comité

Venez nombreux le mercredi 12 décembre 2011 à 16 h00

au Réfectoire de l’IUFM site de Metz,

pour notre moment convivial autour de la galette des rois.

Quelques mots sur les origines de Noël....

Noël, Noël, Noël !

Les villes scintillent de lumières, les vitrines sont décorées de cadeaux, rubans et plein de belles choses attirantes, les maisons prennent un air de fête. Et nous, nous commençons à préparer avec effervescence, cette fête que l’on célèbre dans le monde entier.

Mais faisons un peu d’histoire… D’où vient la fête de Noël ?

Dès la fin de la préhistoire, les hommes ont adoré le soleil, la lumière qui était indispensable à la vie.

On retrouve ce culte dans de nombreuses civilisations (Egyptiens, Perses, Celtes, les peuples d’Amérique latine…). Bien avant l’ère chrétienne, les hommes avaient remarqué qu’à partir d’un certaine date qui se situait vers le 21 septembre (jour de l’équinoxe), le soleil baissait à l’horizon, les jours diminuaient de plus en plus, les nuit étaient de plus en plus longues. Cette disparition de la lumière créait chez nos ancêtres : angoisse et peur, froid et faim.

Le soleil reviendra-t-il ?

Ils avaient aussi observé que vers le 21 décembre (jour du solstice d’hiver dans notre hémisphère), le soleil remontait peu à peu, les jours rallongeaient, la nuit était vaincue par la lumière qui petit à petit augmentait…

La joie faisait alors place à la peur et même si les jours étaient encore très courts, on fêtait en grandes pompes ce retour du soleil, c’était le « natalis solis invictis », la naissance du soleil invincible. On retrouve de nombreuses traces de ces réjouissances.

Plus près de nous, les romains fêtaient les « saturnales » (du 17 au 25 décembre), jours de liesse populaire et d’orgies. On élisait le roi des saturnales (souvent un pauvre) qui, durant toute cette période, avait le droit de commander à tout le monde. On décorait les maisons et préparait des festins.

Après la venue du Messie, la religion chrétienne s’est peu à peu répandue mais elle s’est heurtée à ces fêtes païennes.

Fêter la naissance du Christ était d’autant plus difficile que, si l’on connaissait la date de sa mort, on ne connaissait pas la date de sa naissance.

Alors pour mieux s’implanter, l’Eglise décida de fêter « jour de la naissance du Seigneur », du latin « Dies Natalis Domine », d’où le nom « Noël », à la date du 6 janvier (jour des anciennes Saturnales…). Cette date correspondait aussi à l’arrivée des Rois Mages qui seraient arrivés le jour de cette naissance.

A partir du 3^ème siècle, le Pape Jules 1^er décida de séparer les 2 fêtes (la Nativité et la venue des Rois Mages). Officiellement Noël sera fêté le jour du solstice d’hiver (fixé le 25 décembre par Jules César lors de la réforme du calendrier) et l’Epiphanie le 6 janvier.

Depuis, le calendrier a été modifié et le solstice d’hiver pour l’hémisphère

nord a été fixé le 21 ou 22 décembre. Mais Noël est resté le 25 décembre.

Voilà de façon très simple et très courte l’historique de cette fête de Noël.

C’est peut-être ce mélange de croyances anciennes qui fait de Noël, cette fête universelle de joie et d’amour.

Alors que Noël nous remplisse le cœur de bonheur et soit une trêve qui nous permette, non d’oublier nos peines et nos soucis mais de les atténuer…

Compte-Rendu de la réunion du Comité du 12 octobre 2010

Voici les grandes lignes de notre compte-rendu, pour lire tous les détails cliquez sur ce lien.

1. Bilan de l’assemblée générale du 06 octobre 2010.

Christiane Amadori, présidente, a accueilli tous les amicalistes, a associé ceux qui ne pouvaient être là et ceux qui nous ont quittés. Elle a par ailleurs remercié l’IUFM pour l’accueil dans ses locaux.Intervention de Monsieur Wiltzius, gestionnaire de l’IUFM site de Metz, très heureux de nous accueillir dans la maison, il nous a fait part de son désir de faire vivre l’IUFM à travers des manifestations diverses et nous a présenté les nouveaux services de la cafétéria. Vous pourrez retrouver les menus et les heures d’ouverture sur notre blog.

Monsieur Mageotte, directeur de l’IUFM site de Metz, nous a fait part lui aussi de son plaisir d’accueillir notre amicale si dynamique. Il nous a présenté en quelques mots les changements qui vont s’opérer dans la formation des futurs enseignants.

.....

Bilan moral pour l’année 2009/2010:

1. Les manifestations:la galette des rois, la fête des retraités de l'Amicale .....


2. Les marches ont eu un réel succès. 8 marches d’une ½ journée de septembre 2009 à juin 2010 Le week-end à la Petite Pierre

Randonnée sur le chemin de Compostelle

3. « L’épicerie »

4. Les sorties ont été nombreuses, variées et appréciées : Visite de la chocolaterie Dumay et stage ; Metz illuminée ; Visites guidées du Centre Pompidou Metz ; Paris pour voir l’exposition « Renoir » au Grand Palais et assister à la représentation de l’opéra « Andrea Chénier » de Giordano; Deux autres sorties d’une journée ont été proposées par l’Ancien

5. Les voyages : l’Amicale a organisé trois grands voyages durant la saison passée: en Allemagne; l’Inde du Nord; l’Ecosse.

6. Le blog: mis en ligne au cours l’année scolaire passée et la messagerie électronique.

Bilan financier pour l’année 2009/2010.
Présenté par Anne Claire Dalstein, les comptes ont été approuvés par les apureurs qui ont donné leur quitus, suite aux sondages qui n’ont révélé aucune irrégularité. Ils ont félicité notre trésorière pour la bonne gestion de nos comptes.

2. Election du nouveau bureau.
- Présidente : Christiane Amadori
- Vice-président : Raymond Brucker
- Secrétaire : Monique Collin
- Secrétaire adjointe : Carmen Masselin
- Trésorière : Anne-Claire Dalstein
- Trésorière adjointe : Claudine Tatencloux

3. PERSPECTIVES D’AVENIR ET PROJETS D’ACTIVITES

a. La convention avec l’IUFM a été resignée pour l’année 2010/2011.
b. La cotisation : 14 € pour une personne et 25 € pour un couple. Elle couvre l’année scolaire 2010/2011

c. Les manifestations seront reconduites : Galette des rois et Fête de fin d’année pour nos retraités.
d. Les activités :
Le bridge : des contacts vont être pris pour envisager une reprise éventuelle de cette activité.

Les marches : une ou deux marches par mois seront proposées, voir programme ci-joint.

Champagne : s’adresser à Louis Lorrain ......
Chocolat : nous vous proposons de faire nos commandes à la chocolaterie « Fabrice Dumay », que certains ont eul’occasion de visiter. Vous trouverez ci-joint leur prospectus sachant que sur ces tarifs......

e. Les sorties et voyages à venir :
- Spectacle de danse le 20 novembre à 20h30 au centre socio culturel de St Julien,

- Sortie à Paris le 21 novembre
- Marche Metz illuminée
- Visite de Metz au 18ème siècle
- Visites de l’Opéra-Théâtre de Metz et du Centre Pompidou
- Voyage en Syrie du 24/10/2011 au 31/10/2011
- Voyage en Birmanie du 11 au 27 février 2012

L’Assemblée Générale de l’Amicale des personnels de l’IUFM s’est terminée dans la joie et la bonne humeur autour d’un buffet qui a ravi les personnes présentes. Nous avons aussi pu apprécier le diaporama de la Marche sur les Chemins de Compostelle.


La prochaine réunion du comité aura lieu le 17 novembre à 10h00.

Les chocolats de Noël

Nous vous proposons de faire nos commandes à la chocolaterie « Fabrice Dumay », que certains ont eu l’occasion de visiter.



Vous trouverez en cliquant sur ce lien , leur prospectus sachant que sur ces tarifs, Monsieur Dumay fera 15% de réduction .



Les commandes sont à faire pour le 20 novembre dernier délai en renvoyant le formulaire à l’Amicale.


La permanence pour venir retirer les commandes aura lieu le 15 décembre de 17h à 18h30 à l’IUFM site de Metz salle B003.

Proposition de menus à l'IUFM Site messin

Lors de notre Assemblée Générale, Monsieur Wiltzius nous a invités à venir nous désaltérer dans la Cafétéria de Metz Paixhans


Voici quelques informations complémentaires sur ce lieu.

Cafétéria de Metz Paixhans
Ouverte de 7h30 à 15h 30
en continu

Toute la journée
Nos boissons chaudes à 0.50€
Café, thé, infusion

Nos boissons fraîches à 1.00€
Coca, Sprite, Fanta,
Orangina, Jus de fruit

De 7h30 à 10h30

Nos plateaux petit déjeuner à 2.70€

1 boisson chaude, 1 jus de fruit et
3 petites viennoiseries
ou
pain, beurre, confiture
ou
pain, beurre, jambon
ou
pain, fromage

De 10h30 à 13h30
Nos plateaux rapide à 2.70€
1 Sandwich, 1 boisson, 1 fruit

ou

1 Panini, 1 boisson, 1 fruit

De 11h45 à 13h30
Nos plateaux repas (tarif selon catégorie, sur achat de tickets)
1 entrée crudité, 1 plat chaud, 1 dessert ou 1 fromage

ou

1 salade composée, 1 dessert, 1 fromage.

Alors si l'envie vous prend, n'hésitez pas, ....

BON APPÉTIT

IUF M DE Lorraine, Site Metz Paixhans
16 Boulevard Paixhans
57000 METZ

Bulletin d'adhésion 2010- 2011

Une nouvelle année commence pour notre Amicale.

N'oubliez pas de renouveler votre adhésion et surtout n'hésitez pas à inviter vos amis à nous rejoindre.

Vous trouverez notre bulletin d'adhésion pour l'année 2010/2011 en cliquant sur ce lien.

Un peu de douceur en cette fin d'été.....

RECETTE

Prenez un toit de vieilles tuiles
Un peu avant midi

Placez tout à côté
Un tilleul déjà grand
Remué par le vent.

Mettez au-dessus d’eux
Un ciel de bleu, lavé
Par des nuages blancs.

Laissez-les faire.
Regardez-les.

Eugène Guillevic

Chanson d’automne

Déjà plus d’une feuille sèche

Parsème les gazons jaunis ;

Soir et matin, la brise est fraîche,

Hélas ! les beaux jours sont finis !

On voit s’ouvrir les fleurs que garde

Le jardin, pour dernier trésor :

Le dahlia met sa cocarde

Et le souci sa toque d’or.

La pluie au jardin fait des bulles ;

Les hirondelles sur le toit

Tiennent des conciliabules :

Voici l’hiver, voici le froid ! (...)

Théophile Gautier

Le soleil était encore chaud ; cependant il n'éclairait presque plus la terre ; comme un flambeau placé devant les voûtes gigantesques ne les éclaire plus que par une faible lueur, ainsi le soleil, flambeau terrestre, s'éteignait en laissant échapper de son corps de feu une dernière et faible lueur, laissant encore cependant voir les feuilles vertes des arbres, les petites fleurs qui se flétrissaient, et le sommet gigantesque des pins, des peupliers et des chênes séculaires. Le vent rafraîchissant, c'est-à-dire une brise fraîche, agitait les feuilles des arbres avec un bruissement à peu près semblable à celui que faisait le bruit des eaux argentées du ruisseau qui coulait à mes pieds. Les fougères courbaient leur front vert devant le vent. Je m'endormis, non sans m'être abreuvé de l'eau du ruisseau

Arthur RIMBAUD